Saturday, July 24, 2004


Enfer 98.....

"L’enfer, c’est les autres", l’enfer, c’est nous, c’est nous qui décrivons l’enfer!
Je l’aime tant, elle est mon horizon et ma chanson, alors je l’appelle. C’était vendredi après-midi. Je n’ai pu marcher sur mes pied. J’étais inquiet. Depuis quatre jours, je n’avais pas de ses nouvelles. Je l’appelle et je l’invite pour aller boire un café. Elle accepte et nous voila réunis. Elle sort de l’autobus rayonnante et, ah qu’elle est superbe. Mon coeur bat si vite. On dirait que tranquillement, je flottais sur les nuages de mon rêve. Quel sentiment!!!! Il faisait un peu froid, mais je ne le sentais pas. Au contraire, j’avais chaud. On a traversé la rue pour aller vers le café. Elle a commencé a parler, de ceci et de cela et des gens que cependant, le sujet a changé et:

 
Elle: qu’est ce que tu dis de notre relation a tes amis?

 
Tout surpris, pensant quelques instant,

Moi: tu sais très bien, et d’ailleurs devant tous nos amis, j’ai dit que nous sommes des amis. N’est ce-pas? Mais, j’ai toujours voulu plus et je te l’ai demandé, si tu était d’accord?
Moi: Et quelle étais ta réponse!
Moi:  Tu n’a pas a mes demander de sortir avec toi, tu m’as quand tu le désir.
Elle:  Je me souviens pas de te le dire ces bêtises. Et que tu n’as aucune chance.
Moi:  Bouche bée, j’ai gardé le sourire sans montrer aucun changement d’attitude.
 
Je me souvient plus du reste de notre rencontre.

 
J’ai senti mon coeur brisée par elle, je ne sais combien de fois. Que je suis patient!!! on dirait que j’ai un clou dans le pied et que je continue de marcher la-dessus. La soirée s’est terminée et on s’est dirigé vers nos maisons. J’ai attendu jusqu’a ce qu’elle parte, et je me suis dirigé vers ma maison comme un Zambie. Soudainement, j’entendue le klaxon d’une auto qui me faisait signe que le feu était vert, allons, traverse. Ca m’a pris quelques minutes pour que j’en veine a moi et que je décidé de traverser. C’est a ce moment la que j’ai senti que je suis qu’un naufrage sure une île perdue et que mon bateau a coulé. Mais je la pas fait souffrir, pourquoi donc je souffre? Une semaine a passé, on dirait que rien n’est arrivé!.....mais non, nous deux souffrirons de la conséquence de notre acte. Mais je ne lui ai pas fait mal, ou au moins c’est ce que je pense....
Voila donc l’enfer que j’ai produit avec une amour sincère.

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